Le Chevalier Noir part en guerre contre la criminalité internationale dans Batman : The World, une publication-évènement inédite !

 

Des auteurs exceptionnels originaires de 14 pays présentent leur interprétation de Batman dans des récits propres à leur culture. L’anthologie, de 184 pages en format cartonné, sera disponible dans le monde entier le 14 septembre 2021 (version papier et numérique) et dans les librairies françaises le 17 septembre.

En septembre, DC confère à la guerre contre le crime de Batman une dimension planétaire dans la nouvelle anthologie Batman : The World

Ce recueil de 184 pages est un événement éditorial unique en son genre, regroupant des histoires de Batman imaginée par une sélection des plus grands talents de la bande dessinée internationale, se déroulant dans leur propre pays. La sortie mondiale de Batman : The World aura lieu le mardi 14 septembre, et le vendredi 17 septembre en France, juste à temps pour le Batman Day (samedi 18 septembre). Cette anthologie complète sera adaptée et disponible dans tous les pays participants : Amérique du Nord, France, Espagne, Italie, Allemagne, République Tchèque, Russie, Pologne, Turquie, Mexique, Brésil, Chine, Corée du Sud et Japon.

Pour Jim Lee, éditeur chez DC et directeur de la création, « Batman est devenu une vraie icône de la pop culture, connue dans le monde ». « Batman : The World est le moyen pour DC de montrer à tous les fans que Batman est plus qu’un personnage, c’est un phénomène qui transcende les langues et les frontières ».

L’anthologie démarre avec une histoire signée Brian Azzarello et Lee Bermejo, le duo multi-primé (Batman: Damned, Joker, Lex Luthor: Man of Steel, Batman/Deathblow). Dans « Global city », Batman réfléchit sur son passé à Gotham, protégeant la ville et ses habitants de toutes les menaces. Mais quand il regarde au-delà des ponts, des rues et des gratte-ciels, le Chevalier Noir comprend que l’appel de la justice n’a pas de frontières, qu’il y a des torts à corriger partout. Leur histoire présente une série de récits retraçant le passé et le présent de Batman, des histoires racontées par quelques-unes des plus grandes voix du comics de la scène internationale :

  • Mathieu Gabella (scénariste)/Thierry Martin (dessinateur) – France
  • Paco Roca (scénariste / dessinateur) – Espagne
  • Alessandro Bilotta (scénariste)/Nicola Mari (dessinateur) – Italie
  • Benjamin von Eckartsberg (scénariste)/Thomas von Kummant (dessinateur) – Allemagne
  • Stepan Kopriva (scénariste)/Michal Suchánek (dessinateur) – République Tchèque
  • Tomasz Kolodziejczak (scénariste)/Piotr Kowalski, Brad Simpson (dessinateurs) – Pologne
  • Ertan Ergil (scénariste)/Ethem Onur Bilgiç (dessinateur) – Turquie
  • Alberto Chimal (scénariste)/Rulo Valdés (dessinateur) – Mexique
  • Carlos Estefan (scénariste)/Pedro Mauro (dessinateur) – Brésil
  • Inpyo Jeon (scénariste)/Jae-kwang Park, Kim Jung Gi (dessinateurs) – Corée du Sud
  • Xu Xiaodong, Lu Xiaotong (scénaristes)/Qiu Kun, Yi Nan (dessinateurs) – Chine
  • Kirill Kutuzov, Egor Prutov (scénaristes)/Natalia Zaidova (dessinateur) – Russie
  • Okadaya Yuichi (scénariste / dessinateur) – Japon

 

Chaque version de Batman : The World aura sa propre couverture inédite et alternative réalisée par l’équipe du pays. Les éditeurs et distributeurs internationaux sont Urban Comics (France), ECC Ediciones (Espagne), Panini (Italie, Brésil, Allemagne), CREW (République Tchèque), Azbooka-Atticus (Russie), Egmont Polska (Pologne), JBC (Turquie), Editorial Televisa (Mexique, Amérique centrale), Sigongsa (Corée), Starfish Media (Chine), et Shopro (Japon).

En savoir plus sur l’histoire française de Batman : The World – « Une nuit au musée ».

Batman poursuit Catwoman jusque dans les entrailles du Louvre, persuadé que la cambrioleuse d’exception est venue y dérober un artefact de renom. Mais pour la voleuse, le but de cette « visite » est bien plus précieux… et plus difficile à atteindre.

 

Les scénariste et illustrateur

Mathieu Gabella est un scénariste né le 29 Juillet 1976 à Rouen.

Alors qu’il finit ses études d’ingénieur, il bifurque vers le scénario de bande dessinée, poussé par un camarade de jeu de rôle qui va devenir dessinateur : Poulos, avec qui Mathieu signe son premier album grand format, la Chute, aux éditions Petit-à-petit qui sort en 2005, où il a fait ses armes dans des collectifs.

Une vingtaine d’années plus tard, Mathieu Gabella a écrit une quarantaine d’albums dont, entre autres :

  • La Licorne, aux éditions Delcourt
  • Des participations à différentes collections : 7, WW2.2, la Grande Evasion, Conan le Cimmérien
  • Des biographies historiques comme celle de De Gaulle, en trois tomes, chez Glénat
  • Et même un comics, l’Agent, chez Glénat Comics

Il a aussi écrit deux courts métrages, un long, et quelques épisodes de dessin animé. Il s’est enfin formé au CEEA à l’écriture de série, et travaille sur l’adaptation d’un de ses ouvrages chez Calt Studio.

 

Né le 27 octobre 1966 Thierry Martin quitte le Liban en 1975 en pleine guerre civile.

En France, il découvre Franquin, les Comics, Franck Miller, Will Eisner, Moebius, Alfred Hitchcock, Terry Gilliam, Hayao Miyazaki et bien d’autres.

Diplômé d’Art Graphique aux Beaux-Arts de Perpignan et de l’école Nationale des Beaux-Arts de Nancy, c’est en suivant un stage de story-board dans l’animation à l’école des Gobelins à Paris qu’il développe son goût pour la mise en scène et le dessin. Il réalise d’ailleurs des story-boards pour l’animation télévisée et cinématographique dont Le magasin des suicides de Patrice Leconte.

Depuis Thierry Martin a publié plusieurs albums de bande dessinée chez différents éditeurs, Dargaud, Delcourt, Futuropolis, Soleil, Glénat, La gouttière, Black & White éditions ainsi que pour le magazine Spirou et Fluide Glacial.

En 2019 il réalise un recueil de dessins en noir et blanc, Dernier souffle, une improvisation muette publiée quotidiennement sur Instagram, racontant une histoire de vengeance dans l’univers du western puis publié chez Black & White éditions.

En 2021 paraîtra son album de Mickey dans la collection Disney by Glénat qu’il dessine sur un scénario de Jean-Luc Cornette.

 

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