Amanda Waller : 5 faits sur l’une des plus redoutables adversaires

Pionnière, redoutable, acharnée, Amanda Waller a dirigé de nombreuses organisations chez DC Comics. Alors qu’elle a gagné en puissance dans Dawn of Titans, la voilà maintenant qui défait les plus grands héros dans Absolute Power !

#1 : Lex Luthor président, Amanda Waller première ministre ?

Lex Luthor et Amanda Waller ont déjà une relation professionnelle bien établie dans les bandes dessinées. Au début des années 2000, DC Comics a vu Lex Luthor se tourner vers la politique, en accédant au poste de président des États-Unis. Malgré son élection au Bureau ovale, Luthor poursuit ses projets néfastes, ce qui lui vaut d’être démasqué et évincé de son poste.

Dès son élection, Lex nomme Amanda Waller secrétaire aux affaires métahumaines, bien qu’elle ait été arrêtée à la suite de la révélation et de la mise en accusation de Luthor. Toutefois, ses relations influentes lui ont permis d’être rapidement libérée et nommée à la tête de Checkmate.

#2 : Dealeuse de Kryptonite

La méfiance de Waller à l’égard des métahumains et sa quête incessante de contre-mesures contre les super-héros font d’elle l’une des rares personnes à détenir une réserve de Kryptonite. Elle forme un groupe appelé Last Line, dont l’objectif est de combattre Superman. À cette fin, Waller utilise la Kryptonite qu’elle a amassée pour créer un hybride Doomsday/humain infusé de Kryptonite afin de lutter contre Superman.

Le groupe finit par se retourner contre Waller lorsqu’il découvre qu’elle a utilisé de manière malhonnête les ressources de Last Line pour alimenter sa mission personnelle contre Superman. Cependant, Waller parvient une nouvelle fois à tirer parti de ses relations pour éviter toute sanction sévère, retrouvant ainsi son rôle initial de chef de la Task Force X.

#3 : A l’origine de la Justice League of America

Elle n’a peut-être pas confiance dans les métahumains, mais cela n’a pas empêché Amanda Waller de former la Suicide Squad, et il en va de même pour la Justice League. En tant que directrice d’ARGUS pendant la période Renaissance, Waller a en effet commencé à recruter des membres pour rejoindre la nouvelle Ligue de Justice d’Amérique, composée d’une équipe de héros sous l’autorité du gouvernement des États-Unis, dirigée par Steve Trevor.

À première vue, cette décision peut sembler contraire à ses actions habituelles, mais il s’avère que la JLA n’est pas simplement une branche de la Justice League axée sur les besoins des États-Unis. Il s’agit en réalité d’une autre ruse de Waller pour garder le reste de la Justice League sous contrôle en cas de besoin, ce qui s’est concrétisé pendant les événements de la Guerre des Trinités.

Finalement, la Ligue des Justiciers d’Amérique a été transférée au Canada, quittant l’autorité de Waller et prenant le nouveau nom de Ligue des Justiciers Unis.#5 : Star des écrans

Elle n’est peut-être pas aussi populaire ou connue que certains des autres personnages principaux du DCEU, mais Amanda Waller possède une histoire dans les films, les séries et les jeux DC bien plus prolifique que celle de nombreux membres de la Ligue des Justiciers. À ce jour, elle a été incarnée quatre fois à l’écran : par Pam Grier dans Smallville, Angela Bassett dans Green Lantern, Cynthia Addai-Robinson dans Arrow et Viola Davis dans Suicide Squad.

Ses apparitions ne se limitent pas non plus au cinéma. Elle est presque constamment présente dans les films d’animation, les émissions de télévision et les jeux vidéo de DC, et elle a été incarnée par plus de 14 interprètes depuis 2004, dont le favori des fans, C.C.H. Pounder. Certes, son rôle est rarement aussi important que celui de Batman ou de Superman, mais la présence de The Wall se fait presque toujours sentir autant que celle du Caped Crusader ou de l’Homme d’Acier. Le monde bat à son rythme.Bonus : Loyale envers elle-même seulement

Malgré ses nombreuses affiliations, Amanda Waller n’est fidèle qu’à une seule personne : elle-même. La nature même de la Suicide Squad en témoigne : elle recrute des criminels dont on peut se passer, de sorte qu’elle n’a pas à exprimer son engagement envers un seul membre, les autorisant à mourir — ou les tuant carrément — afin de s’assurer de leur engagement envers la mission.

De plus, elle a presque toujours un motif égoïste. Même lorsque les objectifs de l’escouade ne semblent pas s’aligner sur les siens, elle poursuit un objectif secret pour obtenir (ou détruire) des informations sensibles, qu’elle confie confidentiellement à un seul membre de l’escouade. Elle utilise même les ressources et les installations de la Task Force X pour mener des expériences et construire des équipements non autorisés par le gouvernement, en raison de sa grande méfiance à l’égard des métahumains.