Et si la fin du monde toquait à notre porte ? Oubliez les bunkers et tentez de trouver votre place dans la villa de The Nice House on the Lake !
En 2012, plusieurs journaux parlait de la fin du monde et publiait des articles sur les « endroits où se cacher le 21 décembre 2012 ». Grottes tibétaines, bunkers norvégiens, bases secrètes… tout y passait pour survivre à la prophétique fin du monde. Mais depuis, la pop culture a complètement redéfini notre vision de l’apocalypse.
Et si, la meilleure cachette n’était pas une forteresse militaire, mais… une villa au bord d’un lac ?!
Bienvenue dans The Nice House on the Lake, la série choc de James Tynion IV (le scénariste derrière Batman, Something is Killing the Children ou encore le Déviant) et Álvaro Martínez Bueno (Justice League Dark, L’envol des Batmen).
Une maison parfaite… ou presque
Imaginez une villa somptueuse, design, avec vue sur un lac, entourée de forêts. Pas de voisins, pas de bruit, juste la nature et le confort absolu. Ajoutez à cela des réserves illimitées, des technologies mystérieuses, et une ambiance digne d’un Airbnb de luxe. C’est le paradis, non ?
Sauf que James Tynion IV transforme ce doux rêve de vacances en cauchemar. Cette maison n’est pas qu’une simple villa, un refuge pour se poser le temps d’un week-end : c’est une expérience sociale orchestrée par Walter, un hôte que tous les invités croient connaître, mais qui se révèle être un hôte inquiétant. Dix amis triés sur le volet sont invités dans cette somptueuse villa… juste avant que le monde extérieur ne s’effondre.
Pourquoi cette villa serait « THE » cachette ultime ?
- Isolement total : loin des villes, protégée du chaos, avec un accès à la nature.
- Ressources infinies : nourriture, confort, technologie… Walter a tout prévu pour l’éternité.
- Sécurité absolue : la maison résiste à tout, même à la fin du monde.
- Un cercle restreint : dix invités, pas un de plus. Pas de foule, pas de panique… enfin, en théorie.
Mais derrière cette perfection se cache la vérité : vous n’êtes pas là par hasard. Walter n’est pas un simple ami généreux que vous n’avez pas vu depuis longtemps. Il est autre chose. Et cette villa n’est pas qu’un abri : c’est une prison, un laboratoire où les meilleurs de l’humanité sont observé par des forces qui nous dépassent tous.
En 2012, on rêvait de grottes tibétaines ou de bunkers norvégiens. Maintenant, on se tournerait volontiers vers la villa de The Nice House on the Lake. Mais attention le prix à payer c’est votre liberté (et peut-être votre santé mentale)
Pourquoi lire The Nice House on the Lake aujourd’hui ?
- Parce que c’est l’une des œuvres les plus marquantes de ces dernières années (Eisner Awards, Fauve de la série, une série multi-récompensée).
- Parce qu’elle mélange horreur psychologique, science-fiction, et drame avec une maîtrise parfaite !
- Parce qu’elle pose la question ultime : Que ferait-on si c’était la fin du monde ?
Bonus : Si on doit faire un top des cachettes fictives pour survivre à l’apocalypse, la villa de Walter reste en tête, devant le manoir de Bruce Wayne (trop exposé et Gotham brûle déjà seule…), la Forteresse de Solitude (on y meurt déjà de froid), et le nouveau QG de la Justice League (trouvons déjà une fusée…).
Alors, prêt à troquer votre bunker pour une maison au bord du lac ? Attention, dans The Nice House on the Lake la fin du monde n’est que le début…
The Nice House on the Lake, tome 1
Tous les conviés connaissent Walter – enfin, ils le connaissent un peu, en tout cas. Certains l’ont rencontré dans leur enfance, d’autres l’ont rencontré quelques mois auparavant. Et Walter a toujours été un peu… absent. Mais après une année difficile, personne n’allait refuser l’invitation de ce dernier dans une maison de campagne située à l’orée d’un bois et avec vue sur lac. C’est beau, c’est opulent, c’est privé – de quoi supporter les petites combines et les surnoms bizarres donnés par Walter. Mais ces vacances de luxe revêtent très vite des airs de prison dorée.
The Nice House on the Lake
Ils s’imaginaient passer un chouette week-end dans une somptueuse villa en bord de lac. Onze « élus », réunis par leur ami commun, Walter, à priori doux et sympathiques. Mais au terme de la première soirée, le scénario idyllique tourne au cauchemar éveillé lorsqu’ils assistent, impuissants, à la fin du monde… Depuis, chacun cherche à sa manière à déjouer les plans de leur ami-ravisseur, mais difficile de trouver un sens à l’impensable. Alliances, trahisons, pressions, crises existentielles… Pourront-ils seulement se libérer de leurs propres schémas, de leur prison intérieure ?
Découvrez The Nice House by the Sea, tome 1
Aucun des douze convives de cette belle demeure en bord de Méditerranée ne connaissait Max. Elle connaissait pourtant chacun d’entre eux. Experts dans leur domaine, géants de l’industrie et du savoir moderne, chacun d’entre eux est l’excellence personnifiée. Pour échapper à la fin du monde et incarner l’avenir de l’Humanité, tous ont accepté en leur âme et conscience de se réunir dans ce petit paradis créé rien que pour eux, abandonnant vie et proches à leur triste sort. Survivre à la mort programmée de l’humanité ? Vivre éternellement ? Que pourrait-il y avoir de mal à ça ?