The Nice House On The Lake, s’annonce comme le renouveau de l’horreur moderne ! Vous pourrez découvrir dès janvier un huis-clos horrifique où chaque personnage pense connaitre leurs amis, mais est-ce vraiment le cas ?


Bonjour à toutes et à tous,

Il y a quelques jours, nous vous annoncions la publication sous le DC Black Label du titre THE NICE HOUSE ON THE LAKE en un album unique de 376 pages, au prix de 35€.

Nous pensions recevoir à temps le matériel du dernier épisode pour proposer d’un seul tenant cette œuvre majeure, appelée à devenir l’un des titres de la rentrée 2023.
Nous avons cependant appris en fin de semaine que cela serait techniquement impossible.

Or, il n’était pas envisageable d’accueillir les auteurs au prochain festival d’Angoulême sans disposer de leur album (car oui, les auteurs seront bien présents en janvier 2023 !).

Aussi, nous avons profité de cette contrainte pour réfléchir à la meilleure alternative possible, à savoir : proposer le récit de James TYNION IV et Alvaro MARTINEZ BUENO en 2 albums de 184 et 224 pages en grand format, dans notre belle collection Urban.
Le tome 1 sera disponible le 3 février, le tome 2 le 31 mars, au prix de 15€ pour le tome 1 et de 20€ pour le tome 2, afin de respecter notre engagement initial de proposer cette œuvre à 35€.

Finalement, cette contrainte de matériel est un mal pour un bien puisqu’elle nous permet de revenir au projet originel d’intégrer THE NICE HOUSE ON THE LAKE à notre collection Urban, en raison de ses qualités intrinsèques mais également de sa capacité à s’adresser à un très large lectorat.

C’est donc dans un format prestigieux que vous découvrirez dès le 3 février le dernier chef-d’œuvre horrifique de James TYNION IV & Alvaro MARTINEZ BUENO !

En vous souhaitant la meilleure fin du monde possible,
L’équipe Urban

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Le dernier week-end avant la fin du monde !

Tous les conviés connaissent Walter – enfin, ils le connaissent un peu, en tout cas. Certains l’ont rencontré dans leur enfance, d’autres l’ont rencontré quelques mois auparavant. Et Walter a toujours été un peu… absent. Mais après une année difficile, personne n’allait refuser l’invitation de ce dernier dans une maison de campagne située à l’orée d’un bois et avec vue sur lac. C’est beau, c’est opulent, c’est privé – de quoi supporter les petites combines et les surnoms bizarres donnés par Walter. Mais ces vacances de luxe revêtent très vite des airs de prison dorée.

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