Élevé sur Apokolips, Scott Free a connu une douleur et une souffrance quasi constantes tout au long de sa vie. Cependant, malgré la brutalité et la violence qui lui ont été infligées, sa volonté ne s’est jamais démentie et il n’a jamais perdu espoir. Il rêvait de s’échapper. Mais pour échapper à l’inéluctable, il avait besoin d’un miracle, c’est pourquoi il est devenu Mister Miracle.
Afin de mettre un terme à la guerre destructrice entre New Genesis et Apokolips, le bienveillant Highfather accepta de faire un geste de paix : il échangerait ses fils avec Darkseid, condamnant ainsi son enfant aux enfers d’Apokolips. Darkseid confia Scott à l’orphelinat de Granny Goodness, où il fut soumis à d’innombrables horreurs et tortures dans le but de détruire la bonté qui sommeillait en lui, mais Scott refusa de renoncer à son innocence. N’ayant jamais été physiquement puissant, Scott a plutôt commencé à entraîner son esprit, se distançant mentalement de la douleur et aiguisant sa raison, sa logique et sa capacité à résoudre des problèmes, ce qui l’a transformé en un penseur incomparable et rusé. Lorsqu’il s’est finalement échappé, c’est grâce à son cerveau et non à ses muscles qu’il a réussi, laissant derrière lui la terreur d’Apokolips pour vivre sur Terre sous les traits du super-héros Mister Miracle.
Mister Miracle partage une relation étroite et romantique avec Big Barda. Les deux se sont rencontrés sur Apokolips et sont rapidement tombés amoureux, malgré leurs personnalités différentes. Alors que Barda adore se battre, Scott est plus pacifique et gentil et veut simplement s’intégrer et mener une vie normale, au grand dam de Barda. Leurs personnalités contrastées mais leur amour profond l’un pour l’autre font d’eux l’une des relations les plus uniques de l’univers DC.
Comme tous les New Gods, Mister Miracle possède une force, une vitesse, une agilité, des réflexes, une résistance et bien plus encore. En plus de ses dons naturels, Mister Miracle porte un certain nombre d’armes et de technologies apokoliptiennes avancées, dont une Mother Box qui peut transférer de l’énergie, sentir le danger et la vie, créer des champs de force, projeter des ondes de choc et ouvrir des tubes à perche pour voyager. Il utilise également des Aérodisques modifiés personnellement qui lui permettent de voler à plus de 200 miles par heure et de s’accrocher aux murs et aux plafonds. Incroyablement intelligent et plein de ressources, Mister Miracle est surtout connu pour être le plus grand artiste de l’évasion au monde, capable d’échapper à n’importe quoi, même à la mort.
Pouvoirs : Maître de l’évasion, super force, aptitude au combat, durabilité, technologie avancée, téléportation, champs de force.
Première apparition : MISTER MIRACLE #1 (1971)
Mister Miracle – édition Urban Comics Nomad – 7,90€
Que se passe-t-il lorsque l’artiste de l’évasion ultime se trouve aux prises avec une nouvelle forme de captivité : la dépression ? Passé le traumatisme d’une tentative de suicide ratée, Scott va chercher à se redéfinir à travers ses rapports et son historique de super-héros au statut divin. Une seule certitude balisera sa quête d’identité, comme le rappel d’une liberté finalement toute relative : Darkseid est.
Mister Miracle
Que se passe-t-il lorsque l’artiste de l’évasion ultime se trouve aux prises avec une nouvelle forme de captivité : la dépression ? Passé le traumatisme d’une tentative de suicide ratée, Scott va chercher à se redéfinir à travers ses rapports et son historique de super-héros au statut divin. Une seule certitude balisera sa quête d’identité, comme le rappel d’une liberté finalement toute relative : Darkseid est.
Mister Miracle – The Great Escape
SYNDROME DE STOCKHOLM À APOKOLIPS
Étudiant à Apokolips, dirigée d’une main de fer par Lord Darkseid, Scott Free n’aspire qu’à une chose : s’enfuir pour se rendre sur la planète Terre. Le plan d’évasion de Scott Free est bien ficelé, mais un événement inattendu bouleverse ses calculs. En effet, tomber amoureux de la chef des Furies féminines, Big Barda, justement chargée de veiller à ce qu’il ne s’échappe jamais, n’est pas pour faciliter les choses.